• Collections Jacquemart-André<BR>100 ans de collections<BR>100 ans de protection

Collections Jacquemart-André
100 ans de collections
100 ans de protection

Prix : Gratuit
En stock1 article(s) disponible(s)

La Fondation Jacquemart-André et l’Institut de France célèbrent cette année le centenaire de l’ouverture au public des collections de l’hôtel du boulevard Haussmann à Paris et de l’abbaye de Chaalis dans l’Oise.

Choix non disponible

 

100_MUSEE_JACQUEMART-ANDRE.jpeg.jpg
Au tournant des 19ème et 20ème siècles Nélie Jacquemart et Édouard André, collectionneurs parisiens effrénés et éclairés, constituèrent l’une des collections privées les plus importantes de leur temps. À sa mort en 1912, Nélie Jacquemart légua l’ensemble de ce patrimoine à l’Institut de France, dans le souci de préserver l’intégrité de sa collection et de la faire découvrir au plus grand nombre.
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE24.jpg
Depuis 1913, l’Institut de France et la Fondation Jacquemart-André s’efforcent de conserver, protéger et valoriser ce patrimoine inestimable, prenant soin d’en maintenir l’âme et d’en partager l’esprit. Le musée de Paris sert d’écrin à des expositions temporaires parcourues chaque année par plusieurs centaines de milliers de visiteurs et le parc de Chaalis accueille chaque deuxième weekend de juin les Journées de la Rose, une des plus importantes manifestations florales de France.
nj-5.jpg
Une collection d’amateurs passionnés
Nélie Jacquemart et Édouard André en quelques dates...
1833 Naissance d’Édouard André à Paris, dans une famille de riches banquiers bonapartistes et protestants.
 
1841 Naissance de Nélie Jacquemart à Paris, dans une famille de condition modeste.
 
1850-1870 Édouard André débute une carrière d’officier, fait ses armes en politique et revient au monde des affaires.
 
1863 Édouard André commence sa collection d’art. 1864-1878 Nélie Jacquemart se fait remarquer comme portraitiste dans la bonne société parisienne.
 
1869 Début du chantier de l’hôtel particulier d’Édouard André, boulevard Haussmann à Paris.
 
1872 Édouard André commande à Nélie Jacquemart un portrait.
 
1876 Inauguration de l’hôtel.
 
1881 Mariage d’Édouard André et Nélie Jacquemart à Paris.
 
1882 Premier voyage du couple en Italie ; début de l’installation des appartements français dans l’hôtel André.
 
1892 Début de l’installation du musée italien. 1894 Mort d’Édouard André, qui fait de Nélie son légataire
universel.
 
1902 Début du tour du monde de Nélie qui l’emmène aux Indes et en Birmanie. Elle achète l’abbaye de Chaalis.
 
1912 Mort de Nélie Jacquemart, inhumée à Chaalis. Testament léguant tous ses biens à l’Institut de France.
 
1913 Ouverture des collections au public, conformément à la volonté du couple collectionneur.
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE8.jpg
Les collections de Paris et de Chaalis
Né en 1833, Édouard André est issu d’une grande famille de banquiers protestants bonapartiste et saint-simonienne. À la mort de son père en 1864, Édouard André quitte son poste d’officier dans l’armée de Napoléon III pour reprendre le siège de député de son père. Sa carrière politique s’achève avec la chute de l’empereur. Initié aux beaux-arts par l’entourage familial, il décide alors de se consacrer au mécénat artistique et devient l’un des commanditaires de La Gazette des beaux-arts. Sa fréquentation des milieux artistiques l’amène à multiplier ses achats d’œuvres d’art commencés dans sa jeunesse.
 
En 1872, son goût éclairé est consacré par son élection à la présidence de l’Union centrale des arts appliqués à l’industrie. Ce poste lui permet d’organiser de nombreuses expositions. La même année, une jeune artiste, Nélie Jacquemart, réalise son portrait. Cornélie (dite Nélie), Barbe, Jacinthe Jacquemart est née à Paris en 1841, dans une famille d’origine modeste. Sous la protection de Madame de Vatry, propriétaire de l’abbaye de Chaalis, elle se forme à la peinture dans l’atelier de Léon Cogniet et à la Villa Médicis de Rome. Elle devient à Paris une portraitiste de renom, côtoyant les plus grands noms de la bonne société parisienne.
visuels-presse-12.jpg
En 1881, Édouard André épouse Nélie Jacquemart. L’un et l’autre se découvrent une communauté d’esprit et une passion commune pour l’art.
 
Célibataire, Édouard André fréquentait déjà avidement les milieux artistiques. Il avait notamment anticipé la reconnaissance de l’art français du 18ème siècle, jusqu’alors méprisé, et s’était intéressé aux écoles du Nord, flamandes et hollandaises, aux peintures de Rembrandt en particulier. Avec l’arrivée de Nélie, les acquisitions du couple Jacquemart-André s’accélèrent. Dès 1882, ils entreprennent leur premier voyage en Italie. Nélie Jacquemart se charge de l’aménagement de l’hôtel particulier qu’Édouard André avait fait construire boulevard Haussmann, sur les plans de l’architecte Henri Parent, et de l’enrichissement permanent des ses collections. Elle leur donne une nouvelle impulsion en introduisant l’art italien du Quattrocento.
 
Dans le décor fastueux de l’hôtel, les œuvres sont présentées selon la classification voulue par Nélie. Dans les grands salons se côtoient les œuvres du 18ème siècle français, le galant siècle des Lumières : Watteau, Boucher, Fragonard, Chardin ou Madame Vigée-Lebrun. Une remarquable collection de peinture flamande et hollandaise, allant de Rembrandt à Van Dyck est exposée dans la bibliothèque.
 
Au premier étage, Nélie Jacquemart fait transformer son ancien atelier d’artiste en musée italien : trois salles dans lesquelles elle sélectionne le meilleur de son fonds, comprenant entre autres des œuvres de Bellini, Botticelli, du Pérugin ou encore le célèbre Saint Georges terrassant le dragon de Paolo Uccello. La salle des sculptures, quant à elle, abrite l’une des plus belles collections de sculptures italiennes des 15ème-16ème siècles conservées en France : Francesco Laurana, Donatello ou Luca Della Robbia. Un mobilier raffiné vient compléter cette admirable collection que Nélie Jacquemart continua à enrichir après la mort de son mari.
 
À la mort d’Édouard André en 1894, Nélie Jacquemart est désormais seule à la tête d’une fortune considérable. Elle poursuit ses voyages qui la conduisent à nouveau en Italie, mais aussi dans l’ensemble du pourtour méditerranéen, en Europe orientale, et même en Birmanie. En 1902, elle entreprend un tour du monde, avec une première étape en Inde, d’où elle rentre précipitamment quand elle apprend la mise en vente de l’abbaye de Chaalis. Elle achète aussitôt le domaine et une grande partie du mobilier. Elle y trouve de nouveaux espaces pour y disposer ses acquisitions dans une atmosphère plus « château », en harmonie avec les réceptions mondaines et les chasses qu’elle y organise.
 
De qualité comparable à celle du musée parisien, la collection de Chaalis renferme plus de 6000 objets d’art. L’ancien palais abbatial (18ème s.), déjà transformé en maison d’habitation par Madame de Vatry, est entièrement réaménagé par Nélie Jacquemart. Elle y expose notamment des œuvres ramenées du bout du monde, qui meublent le salon indien et birman, les petits cabinets chinois et islamique, et fait de l’ancienne cuisine de l’abbaye, dite salle des Moines, son musée. On y trouve notamment des panneaux de Giotto et une Annonciation siennoise du 14ème siècle. Dans la longue galerie voûtée du rez-de-chaussée est disposée une importante collection de bustes antiques, italiens de la Renaissance ou français du 18ème siècle, chefs-d’œuvre de Lemoyne, Pajou, Houdon ou Roland. À l’étage, la galerie est ornée de peintures des écoles italienne, française et néerlandaise, parmi lesquelles le fameux portrait du Cardinal de Richelieu par Philippe de Champaigne, ou encore Le Paradis perdu du Tintoret.
visuels-presse-10.jpg
100 ans de collections, 100 ans de protection
 
Édouard André avait déjà indiqué dans son testament sa volonté de voir l’hôtel s’ouvrir au plus grand nombre. Nélie précisa ces intentions : le 19 janvier 1912, elle lègue par testament l’ensemble de son patrimoine à l’Institut de France, à condition de préserver la disposition des collections.
 
« Ces collections, leur arrangement ont été le but de mes études, mes travaux y ont mis aussi leur empreinte ; ma volonté et mes vœux sont absolument qu’on ne déplace aucun objet. Qu’on respecte leur ensemble et leur harmonie où mon goût est attaché. J’espère qu’elles serviront aux études de ceux qui se dévouent à l’art et à son histoire. »
Nélie Jacquemart-André, testament, 19 janvier 1912
 
Nélie Jacquemart meurt le 15 mai 1912. Un an plus tard, l’Institut de France ouvre au public les portes de l’abbaye de Chaalis et de l’hôtel particulier du boulevard Haussmann donnant ainsi intégralement accés à leurs remarquables collections. Le musée du boulevard Haussmann fut inauguré le 8 décembre 1913 par le président de la République Raymond Poincaré, venu manifester l’intérêt qu’il portait à ce nouveau joyau des musées parisiens issu de la générosité privée. Le public fut au rendez-vous : on compta 800 visiteurs le lendemain et 1700 le dimanche.
Dès 1913, Émile Bertaux, nommé directeur du musée Jacquemart-André, et Louis Gillet, chargé de l’abbaye de Chaalis, rédigèrent les premiers guides de visite. Le Catalogue itinéraire de Bertaux, contenant plus de 1200 numéros et 48 illustrations, connut après sa sortie en 1913 plusieurs rééditions augmentées.
 
Depuis 100 ans, l’Institut de France s’emploie à protéger, à sauvegarder et à valoriser ce patrimoine exceptionnel. Une commission de l’Institut est désignée pour gérer la Fondation Jacquemart-André et nommer les conservateurs des deux musées. Depuis 2000, le président de la Fondation Jacquemart-André est l’historien d’art Jean-Pierre Babelon, qui a également en charge les collections de l’abbaye de Chaalis.
 
En 1996, la gestion du musée Jacquemart-André de Paris a été déléguée à la société Culturespaces. Il voit sa fréquentation augmenter d’année en année, grâce à d’importantes expositions temporaires.
 
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE5.jpg
L’Institut de France
Créé en 1795 pour contribuer à titre non lucratif au rayonnement des arts, des sciences et des lettres, l’Institut de France est composé de cinq académies : l’Académie française, l’Académie des inscriptions & belles-lettres, l’Académie des sciences, l’Académie des beaux-arts et l’Académie des sciences morales & politiques.
 
Parallèlement, il est une des plus anciennes et plus prestigieuses institutions à pratiquer le mécénat et à gérer des dons et legs. Depuis deux siècles, il abrite des fondations et attribue des prix jouant un rôle incomparable dans le mécénat moderne. Créés par des particuliers ou des entreprises, les fondations et prix de l’Institut bénéficient de l’expérience de cette institution séculaire dans les domaines du mécénat et de la philanthropie, ainsi que de l’expertise des académiciens, dans tous leurs champs de compétence.
 
L’Institut est également propriétaire d’un important patrimoine artistique, constitué de demeures et de collections exceptionnelles qui lui ont été léguées depuis la fin du 19ème siècle ; notamment : le château de Chantilly, le musée Jacquemart-André, l’abbaye de Chaalis, le château de Langeais, le manoir de Kerazan ou encore la villa Kérylos.
 
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE26.jpg
 
Événements
2013 est l’occasion pour le musée Jacquemart-André et l’abbaye de Chaalis de lancer de nouveaux projets qui valorisent leurs collections et mettent à l’honneur le couple Jacquemart-André. Cet anniversaire fait écho au thème des Journées Européennes du Patrimoine qui célèbrent cette année «Cent ans de protection».
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE21.jpg
Le musée Jacquemart-André
158 boulevard Haussmann, Paris 8ème
Installé au bord d’une des grandes artères impériales, l’hôtel construit pour Édouard André à partir de 1869 a pour ambition de servir sa carrière politique et d’offrir à ses très nombreux invités le cadre le plus fastueux. La suite des appartements officiels en témoigne avec son salon rotonde, son salon de musique et son escalier digne de celui de l’Opéra. Curieusement, cette maison de fêtes devient à partir de 1890, une maison de collectionneur où l’objet d’art va bientôt envahir tout l’espace disponible. Deux grandes collections s’y développent, la sienne consacrée au 18ème siècle français et celle de son épouse Nélie Jacquemart, attachée à l’Italie du 15ème siècle. Ensemble, elles forment la quintessence de l’art.
MUSEE_JACQUEMART-ANDRE22.jpg
À Paris...
 
Le parcours du centenaire
À découvrir jusqu’en décembre 2013
Le musée Jacquemart-André propose un «parcours du centenaire» qui plonge le visiteur dans l’atmosphère feutrée du musée conçu par Édouard et Nélie Jacquemart-André. Une série de photographies de 1913 jalonne les pièces principales du musée : le public peut ainsi se rendre compte de l’ampleur de la collection et du goût affûté de ses propriétaires, un siècle après l’arrivée des premiers visiteurs.
 
La restauration du salon de musique
Dans un esprit de valorisation du patrimoine légué par Édouard et Nélie Jacquemart- André, l’Institut de France et la Fondation Jacquemart-André lancent en 2013 un chantier de reconstitution de la salle de musique dans son état originel.
 
L’hôtel particulier du boulevard Haussmann, temple de la démesure, est achevé en 1876. Conçu pour un mode de vie dévolu aux fêtes et à la réception, il fut équipé de toutes les commodités modernes, dans un décor théâtral, sans cesse augmenté d’œuvres de maîtres qui venaient compléter une importante collection d’art qu’Édouard André avait déjà rassemblée.
 
Le salon de musique est sans doute la pièce la plus représentative de ce palais : luxueuse, monumentale et aménagée pour recevoir. En 1890, désormais attaché à l’aménagement en musée de sa demeure, Édouard André décide de modifier l’apparence de son salon de musique pour l’adapter à ses collections. C’est ainsi qu’est démontée la cheminée de marbre aux dimensions colossales. Initialement mise en vente, elle fut finalement stockée dans les caves du musée.
 
Une photographie retrouvée récemment a permis de reconstituer la cheminée et de lancer le chantier de sa remise en place, pour redonner au salon de musique tout son faste.
JOURNEESROSE_Page_2_Image_0003.jpg
L’abbaye de Chaalis
60300 Fontaine-Chaalis
Fondée par le roi Louis VI le Gros, l’abbaye de Chaalis connaît durant le Moyen Âge, un grand rayonnement spirituel. À la Renaissance, le cardinal Hippolyte d’Este y attire de grands artistes italiens, l’architecte Serlio ou le peintre Primatice qui décore la chapelle Sainte-Marie. En 1737, Jean Aubert, architecte des grandes écuries de Chantilly, est chargé de reconstruire les bâtiments abbatiaux. Après la révolution, la destruction partielle de l’église abbatiale et du cloître ne laisse subsister qu’un grand bâtiment d’architecture classique, aménagé en château au 19ème siècle par les nouveaux propriétaires.
 
Veuve du banquier Édouard André, Nélie Jacquemart-André l’achète en 1902 et y fait disposer une partie de ses oeuvres d’art glanées à travers le monde. En 1912, elle lègue Chaalis à l’Institut de France qui y déposera en 1923 la collection Jean-Jacques Rousseau.
visuels-presse-9.jpg
 
À Chaalis... en Picardie
Un parcours et une exposition sur Nélie Jacquemart
À découvrir lors des Journées de la Rose
et jusqu’au 1er novembre 2013
À l’abbaye de Chaalis, chaque pièce, chaque objet, chaque recoin porte l’empreinte de Nélie Jacquemart. Sa collection, les aménagements qu’elle y fît créent dans ce lieu une ambiance particulière et hors du temps. Une exposition de tableaux et dessins de Nélie Jacquemart, dont celle de son autoportrait d’ordinaire présenté à Paris, et un parcours original à travers le musée feront découvrir au visiteur cette personnalité hors du commun.
 
Une artiste-peintre
Après son mariage avec Édouard André, Nélie Jacquemart avait abandonné sa carrière de peintre, préférant s’investir dans la constitution et l’enrichissement de ses collections. Néanmoins, on conserve encore de nombreux témoignages de ses dons d’artiste : le portrait d’Édouard André, son autoportrait retrouvé récemment dans une armoire déchiré en trois morceaux, des aquarelles représentant des paysages des alentours de Chaalis, des esquisses de ses commandes publiques (tableaux d’églises parisiennes notamment), ...
 
Une collectionneuse et voyageuse
Sa passion pour la peinture et les objets d’art amena Nélie Jacquemart à multiplier ses voyages : Italie, où elle se rendit plusieurs fois, Inde, Birmanie, bassin méditerranéen... Plus encore que son époux, elle fut une insatiable collectionneuse, s’arrêtant ça et là pour ne visiter parfois que les antiquaires et acheter tout leur stock. Des semaines après sa mort, des caisses d’objets italiens achetés lors de son dernier voyage continuaient d’arriver à Paris ! À travers le parcours, les visiteurs découvriront les pièces les plus originales de sa collection.
 
Une femme du monde
Dans les années 1860-1870, alors portraitiste fétiche du Tout-Paris, Nélie Jacquemart fréquentait déjà la bonne société parisienne, avant d’y faire son entrée fracassante en 1881 par son mariage avec Édouard André. Elle reçoit fréquemment ses amis dans l’hôtel du boulevard Haussmann qu’elle arrange avec goût.
 
La dame de Chaalis
À partir de 1902, elle dispose à Chaalis une partie de ses collections et de ses nouvelles acquisitions. Elle y reçoit régulièrement ses amis et voisins et fait de nombreux aménagements dont certains étonnamment modernes (centrale hydroélectrique, chauffage, téléphone, ascenseur...) ; elle achète même une voiture de l’usine Léon Buat à Senlis !
Selon sa volonté, elle est inhumée dans la chapelle de la propriété, où son effigie en bronze commandée au sculpteur Denis Puech orne sa tombe.
visuels-presse-11.jpg
 
Nélie Jacquemart à l’honneur
lors des Journées de la Rose
Les 7, 8 et 9 juin 2013, la 12ème édition des Journées de la Rose mettra Nélie Jacquemart à l’honneur.
 
Dans une ambiance familiale et champêtre, ce rendez-vous annuel des rosiéristes, pépiniéristes, professionnels et amateurs de jardins accueille chaque deuxième weekend de juin plus de 20 000 visiteurs qui viennent écouter les conseils des professionnels et profiter des expositions de centaines de variétés de fleurs.
 
L’édition 2013 sur le thème « Au jardin des collectionneurs »
Pour fêter le centenaire de l’ouverture au public des collections Jacquemart-André, les Journées de la Rose mettent cette année en valeur toutes sortes de collections. Des collectionneurs de plantes rares se joindront aux traditionnels exposants, pour faire découvrir au visiteur un monde végétal méconnu et riche en biodiversité.
Plus de 120 exposants rosiéristes, pépiniéristes et autres professionnels du monde végétal présenteront leurs créations et leur savoir-faire aux visiteurs ; ces professionnels sont l’âme des Journées de la Rose et en assurent chaque année le succès par la variété de leurs présentations et l’originalité de leurs stands.
 
 
Abbaye de Chaalis
60300 Fontaine-Chaalis
03 44 54 04 02
 
MUSÉE JACQUEMART-ANDRÉ
158 boulevard Haussmann 75008 Paris
01 45 62 11 59
16.jpg
© Crédit Photos Fondation Jacquemart-André / Crédit Photos Institut de France