Une auberge de Jeunesse dans un chef-d’œuvre de l’art gothique.
Situé à 35 de km de de Bergerac et Sarlat, le village de Cadouin est situé au coeur du Pays des Bastides en Dordogne.
En Périgord noir, l’Auberge de Jeunesse de Cadouin est idéalement située par rapport à ces grands sites d’exception. Lascaux, Sarlat, Les Eyzies, les châteaux et les bastides de la Dordogne…
L’Auberge de Jeunesse bénéficie d’un environnement architectural unique. Elle fait en effet partie de l’abbaye cistercienne de Cadouin, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, datant des XIe et XIIe siècles et comportant une église, un cloître et les bâtiments conventuels. Et ce sont dans les bâtiments conventuels où vivaient les moines auparavant, qu’est implantée l’Auberge de Jeunesse.
Une grande cour intérieure, avec son four à pain qui sert de cuisine aux visiteurs (hors groupes), contribue à rendre le lieu encore plus convivial et chaleureux.
L’Auberge de Jeunesse accueille tout autant les visiteurs individuels que les groupes. Les chambres comportent de 2 à 7 lits et disposent de salles de bains et de toilettes. Salle de restaurant, de classe ou de réunion, salons dans les étages, les salles communes répondent à tous les besoins. La grande salle de spectacle et d’animation se situe, elle, dans l’ancien réfectoire des moines, datant du XIIIe siècle.
A voir :
L'église romane de 1154. Elle dégage la spiritualité cistercienne du XIIe siècle. Le cloître, construit aux XVe et XVIe siècles, est un chef-d'oeuvre de l'art gothique.
Ouverture
Du 02/02/2014 au 30/11/2014 Les mineurs doivent être accompagnés d'un adulte.
Horaires d'accueil
Toute l'année : 8h00 - 12h00 ; 17h00 - 22h00 Juillet et Août : 8h00 - 12h00 ; 16h00 - 22h00
Auberge accessible 24h/24
Les cartes de crédit ne sont pas acceptées à l'auberge.
Abbaye de Cadouin
24480 Cadouin
Tél. 05 53 73 28 78
Fédération Unie des Auberges de Jeunesse
La Fédération Unie des Auberges de Jeunesse est le maillon français du réseau international des Auberges de Jeunesse (Hostelling International). Ce réseau comprend 4 000 Auberges dont 120 en France.
L’adhésion à la FUAJ ouvre l’accès à l’ensemble du réseau mondial des Auberges de Jeunesse.
En France : Créées au début du siècle, en Allemagne, autour d’une idée généreuse et novatrice : "permettre aux jeunes de découvrir le monde en apprenant à se connaître", les Auberges de Jeunesse sont apparues en France, sous l’impulsion d’un humaniste : Marc Sangnier. Lieux privilégiés d’accueil des premiers congés payés sous le Front Populaire, Léo Lagrange, alors Secrétaire d’Etat à la Jeunesse et aux Sports, a favorisé leur essor. Ainsi, en France, en 1939 on comptait déjà un nombre important d’Auberges de Jeunesse et en 1956, naissait la Fédération Unie des Auberges de Jeunesse (FUAJ), association à but non lucratif (loi 1901).
Depuis sa création, la FUAJ a pris une nouvelle dimension. Elle dispose aujourd’hui de 10 000 lits et accueille ses adhérents sans limite d’âge (individuels et groupes : scolaires, étudiants, comités d’entreprise, clubs et associations etc.) dans plus de 120 établissements, en ville, à la campagne, à la montagne ou au bord de la mer.
Les activités des Auberges de Jeunesse ont par ailleurs évolué et se sont diversifiées. En effet, traditionnellement tournées vers l’accueil international des jeunes qui voyagent à travers le monde, elles offrent aujourd’hui plus de 50 activités sportives, allant du ski, à la randonnée, au kayak de mer, destinées à tous ceux qui désirent s’initier ou se perfectionner.
Toujours soucieuses de répondre aux attentes des usagers, les Auberges de Jeunesse propose également un large panel d’activités culturelles et touristiques s’appuyant sur les richesses de l’environnement immédiat (stages et séjours à thèmes : gastronomie, préhistoire, nature etc.).
De ce fait, la multi-fonctionnalité des équipements est aujourd’hui le principe de base pour faire cohabiter harmonieusement espaces collectifs et individuels. Le schéma classique, qui consistait autrefois à aménager des dortoirs et une salle polyvalente, a disparu pour laisser la place d’une part, à des chambres collectives de capacité restreinte (4 à 6 lits maximum) intégrant sanitaires et rangements et d’autre part, à des espaces de vie collective favorisant avant tout la rencontre interculturelle.
